✖ Ann MacMILLAN ✖ Surnom(s) : ... Ann ? ✖ Âge : 22 bougies. Déjà. ✖ Emplois/Etudes/Occupations : Elle est pas du genre à s'attarder dans un coin, donc elle accumule les petits boulots éphémères. Actuellement, elle travaille dans un café chic comme serveuse, barman ou encore pianiste. ✖ Orientation : Hétérosexuelle. Définitivement. ✖ Nationalité/Origines : Un joyeux mélange de français et d'anglais. ✖ Aime/N'aime pas : ♥ Les framboises • le piano • la musique • emmerder les gens • détruire des réputations • le café • le thé • Le roller • faire semblant d'être idiote • marcher • observer les gens • le chocolat • se moquer des autres... ♠ Les carottes • qu'on lui marche sur les pieds • être plus petite que son interlocuteur • courir • mentir • être obligée d'être gentille...
| ✖ Description du physique :Ann est très mignonne. Pour une fille de 18 ans. Dommage qu’elle en ait 22. Avec ses grands yeux ambrés bordés de longs cils très noirs, sa bouche vermeille et ses grosses joues laissant apparaitre des focettes, on la croquerait. Ses cheveux, lisses, courts et épais sont bruns avec des reflets légèrement roux lorsqu’il y a du Soleil.
Son allure de poupon est renforcée par sa taille : 1.60m. Elle déteste qu’on fasse allusion à sa petite taille et refuse de porter des talons par fierté, parce qu’après tout, « ce n’est pas moi qui suit petite, ce sont les autres qui sont trop grands ».
Ann n’as pas de détails physiques pouvant retenir l’attention. Si ce n’est un tatouage au poignet, le symbole alchimique du platine.
Au niveau vestimentaire, elle n’est pas du genre à se prendre la tête, mais tient quand même à rester féminine et un peu à la mode du jour. Une chemise (le plus souvent bleue claire), une veste d’homme, un jean slim, des ballerines, un foulard et un Stetson : la tenue type qu’elle adapte en fonction des situations.
✖ Description du caractère :Ann, c’est un peu la fille bipolaire qu’on aime ou qu’on hait selon ses humeurs. Elle peut-être adorable, vous aider et peut devenir chiante, se moquer de tout le monde et démolir une ambiance en moins de temps qu’il ne faut pour l’écrire. En fait, elle ne se rend pas compte. Elle ne comprend pas que traiter quelqu’un de face de chameau peut être blessant, puisqu’on ne s’est jamais réellement moqué d’elle. Au lycée, elle a toujours été la fille populaire qu’on adorait ou qu’on haïssait. Celle dont on avait peur et dont on voulait bien se faire voir. Celle qui faisait la loi. Et de cette période elle a gardé ce caractère insupportable, presque capricieux de jeune fille à qui tout réussi. Mais finalement, en est-elle plus heureuse ? Pas forcément. Elle est très seule et comble donc cette solitude par un besoin étrange de tout connaître. Elle se lasse vite et accumule les petits boulots : de gouvernante dans un hôtel elle est passé secrétaire, bibliothécaire, libraire, vendeuse dans une papeterie, serveuse, barman, et est à présent pianiste pour un café chic. Personne n’arrive à la cerner, même pas elle. ✖ L'histoire de votre personnage :Ann est la fille d’un chirurgien et d’une avocate. Ses parents n’ont jamais été présents. Son père, passionné par son travail n’était jamais à la maison, sa mère, stricte et très sévère n’a jamais fait un seul geste de tendresse envers sa fille unique. Ils ont tenté de compenser par un nombre incalculable de cadeaux, la petite en recevant au moins un par semaine, si ce n’était pas un par jour. Elle avait ce qu’elle désirait et était traitée comme une princesse pour que Mme MacMillan ai la paix et puisse travailler en paix. Finalement, ce ne sont pas ses parents qui l’ont élevé, mais une nourrice, qui, étant stérile, considéra Ann comme sa fille, tissant ainsi une relation fraternelle entre elles. Jalouse par l’affection qu’Ann portait à Thérèse, la nourrice, Mr MacMillan éloigna celle-ci de l’enfant pour lui trouver une remplaçante qui se chargerait en plus de son éducation. Jamais institutrice ne fut plus malmenée par son élève. Furieuse qu’on ait changé sa « nounou », la gamine a tout fait pour faire de la vie de sa remplaçante un enfer. Et elle réussit : la jeune fille finit par se suicider.
Nullement affectée par ce qu’elle venait de provoquer, Ann eut presqu’une satisfaction, une fierté morbide, ne se rendant absolument pas compte de la gravité de son acte. Grâce à son influence, Mme MacMillan parvint à faire éviter des séances de rééducation à sa fille, mais l’enferma dans sa chambre pour la punir pendant un an. Un an enfermée dans une pièce de 20m². L’enfant, alors âgée de 9 ans, s’échappa. Les policiers l’a rattrapèrent et découvrir qu’elle avait été la cause d’un suicide et la placèrent dans la maison de rééducation qu’on avait cherché à lui faire éviter. Finalement, elle en sortit à 14 ans, pour être prise en charge par une famille d’accueil qui parvint à lui redonner une vie normale. Certes cette famille fit beaucoup pour elle, l’intégrant dans la société et essayant de lui apprendre des valeurs, mais assoiffée de liberté, Ann partit lors de sa majorité, abandonnant ceux qui avait tout fait pour elle, partant vivre sa vie.
Aujourd’hui, elle n’a pas revu ses parents depuis ses 9 ans et elle s’en porte très bien. Elle passe de temps à autre voir sa famille d’accueil, mais tient à en rester distante autant que possible.
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