parchemin a écrit:

« Samedi 15 Novembre aura lieu le premier match de Quidditch de l’année !
Le match opposera l'équipe de Serdaigle à celle de Griffondor !

Venez nombreux pour soutenir vos équipes !»

Voilà l’affiche qui avait été affiché dans toutes les salles communes de l’école. Les élèves, plutôt habitués, passaient devant sans vraiment y faire attention.

Le Quidditch est aux sorciers ce que le Football est aux moldus. Des hommes courent après une baballe ! Mais dans le monde des sorciers, c’est un véritable engouement !

Le 15 novembre arriva à grands pas et les élèves, comme les professeurs, se hâtèrent de terminer leur petit déjeuner pour pouvoir assister à ce premier match. Les paris étaient ouverts et Griffondor l’emportait à 100 contre 10, environ. Les joueurs se mirent en place assez rapidement jusqu’à ce que le départ soit lancé. Les souafles étaient lancés de joueur en joueur alors que les cognards volaient dans l’espace, les batteurs protégeant leurs camarades. Deux personnes semblaient en retrait. Un rouge, un bleu. Ils parcouraient le terrain des yeux, cherchant le vif d’or, la balle de la victoire.

Le match dura une bonne demi-heure lorsque le premier accident surgit. Alors que Serdaigle menait 50 à 30, un cognard avait percuté de plein fouet un joueur de Griffondor, l’expédiant sans ménagement jusqu’au sol. Avec un poursuiveur en moins, l’équipe avait moins de chance de marquer. Mais ils continuèrent, les deux poursuiveurs restant se passant la balle avec agilité alors que l’attrapeur de leur équipe commençait à bouger. À première vue, il devait avoir aperçu le vif d’or car il se mit à suivre une ligne tracée, montant plus haut que les autres avant de redescendre, de faire les tours des tribunes, de passer en plein milieu du terrain.

Et c’est là qu’intervint le second accident de la matinée. Le vif d’or explosa alors que la main de James Potter n’était plus qu’à quelques centimètres de la victoire.

Le match fut suspendu un instant, le professeur de vol expliquant qu’elle avait un second vif d’or et qu’elle allait le chercher dans la salle où étaient entreposé le matériel de Quidditch. Mais elle ne put descendre car un incendie s’était déclaré aux pieds des tribunes.

Les élèves, apeurés, se ruèrent hors des tribunes, créant un mouvement de panique tel que Minerva McGonagall dû en stupéfixé plus d’un.

Cette journée restera dans les mémoires des élèves. Personne n’a trouvé qui avait mis le feu et encore moins qui avait fait explosé le vif d’or.

Les résultats du match ont été annoncés comme nuls et la sous-directrice assura qu’elle ferait tout ce qui était en son pouvoir pour le reporter.

parchemin a écrit:

« Samedi 15 Novembre aura lieu le premier match de Quidditch de l’année !
Le match opposera l'équipe de Serdaigle à celle de Griffondor !

Venez nombreux pour soutenir vos équipes !»

Voilà l’affiche qui avait été affiché dans toutes les salles communes de l’école. Les élèves, plutôt habitués, passaient devant sans vraiment y faire attention.

Le Quidditch est aux sorciers ce que le Football est aux moldus. Des hommes courent après une baballe ! Mais dans le monde des sorciers, c’est un véritable engouement !

Le 15 novembre arriva à grands pas et les élèves, comme les professeurs, se hâtèrent de terminer leur petit déjeuner pour pouvoir assister à ce premier match. Les paris étaient ouverts et Griffondor l’emportait à 100 contre 10, environ. Les joueurs se mirent en place assez rapidement jusqu’à ce que le départ soit lancé. Les souafles étaient lancés de joueur en joueur alors que les cognards volaient dans l’espace, les batteurs protégeant leurs camarades. Deux personnes semblaient en retrait. Un rouge, un bleu. Ils parcouraient le terrain des yeux, cherchant le vif d’or, la balle de la victoire.

Le match dura une bonne demi-heure lorsque le premier accident surgit. Alors que Serdaigle menait 50 à 30, un cognard avait percuté de plein fouet un joueur de Griffondor, l’expédiant sans ménagement jusqu’au sol. Avec un poursuiveur en moins, l’équipe avait moins de chance de marquer. Mais ils continuèrent, les deux poursuiveurs restant se passant la balle avec agilité alors que l’attrapeur de leur équipe commençait à bouger. À première vue, il devait avoir aperçu le vif d’or car il se mit à suivre une ligne tracée, montant plus haut que les autres avant de redescendre, de faire les tours des tribunes, de passer en plein milieu du terrain.

Et c’est là qu’intervint le second accident de la matinée. Le vif d’or explosa alors que la main de James Potter n’était plus qu’à quelques centimètres de la victoire.

Le match fut suspendu un instant, le professeur de vol expliquant qu’elle avait un second vif d’or et qu’elle allait le chercher dans la salle où étaient entreposé le matériel de Quidditch. Mais elle ne put descendre car un incendie s’était déclaré aux pieds des tribunes.

Les élèves, apeurés, se ruèrent hors des tribunes, créant un mouvement de panique tel que Minerva McGonagall dû en stupéfixé plus d’un.

Cette journée restera dans les mémoires des élèves. Personne n’a trouvé qui avait mis le feu et encore moins qui avait fait explosé le vif d’or.

Les résultats du match ont été annoncés comme nuls et la sous-directrice assura qu’elle ferait tout ce qui était en son pouvoir pour le reporter.

parchemin a écrit:

« Samedi 15 Novembre aura lieu le premier match de Quidditch de l’année !
Le match opposera l'équipe de Serdaigle à celle de Griffondor !

Venez nombreux pour soutenir vos équipes !»

Voilà l’affiche qui avait été affiché dans toutes les salles communes de l’école. Les élèves, plutôt habitués, passaient devant sans vraiment y faire attention.

Le Quidditch est aux sorciers ce que le Football est aux moldus. Des hommes courent après une baballe ! Mais dans le monde des sorciers, c’est un véritable engouement !

Le 15 novembre arriva à grands pas et les élèves, comme les professeurs, se hâtèrent de terminer leur petit déjeuner pour pouvoir assister à ce premier match. Les paris étaient ouverts et Griffondor l’emportait à 100 contre 10, environ. Les joueurs se mirent en place assez rapidement jusqu’à ce que le départ soit lancé. Les souafles étaient lancés de joueur en joueur alors que les cognards volaient dans l’espace, les batteurs protégeant leurs camarades. Deux personnes semblaient en retrait. Un rouge, un bleu. Ils parcouraient le terrain des yeux, cherchant le vif d’or, la balle de la victoire.

Le match dura une bonne demi-heure lorsque le premier accident surgit. Alors que Serdaigle menait 50 à 30, un cognard avait percuté de plein fouet un joueur de Griffondor, l’expédiant sans ménagement jusqu’au sol. Avec un poursuiveur en moins, l’équipe avait moins de chance de marquer. Mais ils continuèrent, les deux poursuiveurs restant se passant la balle avec agilité alors que l’attrapeur de leur équipe commençait à bouger. À première vue, il devait avoir aperçu le vif d’or car il se mit à suivre une ligne tracée, montant plus haut que les autres avant de redescendre, de faire les tours des tribunes, de passer en plein milieu du terrain.

Et c’est là qu’intervint le second accident de la matinée. Le vif d’or explosa alors que la main de James Potter n’était plus qu’à quelques centimètres de la victoire.

Le match fut suspendu un instant, le professeur de vol expliquant qu’elle avait un second vif d’or et qu’elle allait le chercher dans la salle où étaient entreposé le matériel de Quidditch. Mais elle ne put descendre car un incendie s’était déclaré aux pieds des tribunes.

Les élèves, apeurés, se ruèrent hors des tribunes, créant un mouvement de panique tel que Minerva McGonagall dû en stupéfixé plus d’un.

Cette journée restera dans les mémoires des élèves. Personne n’a trouvé qui avait mis le feu et encore moins qui avait fait explosé le vif d’or.

Les résultats du match ont été annoncés comme nuls et la sous-directrice assura qu’elle ferait tout ce qui était en son pouvoir pour le reporter.

Dumbledore n’est plus là. L’homme qui était le seul à réellement préserver la tranquillité du château laisse aujourd’hui le chaos et la confusion s’installer. Car maintenant les langues se délient, les mouvements s’installent et se manifestent pour de bon. La crainte qu’inspirait malgré tout le puissant sorcier s’étant en allant avec lui à Azkaban. On pourrait croire que seule l’influence de Voldemort en profiterait, que les mangemorts réussiraient à étendre leur volonté dans les murs du palais malgré la présence de McGonagall qui met tout en œuvre pour protéger l’école comme l’aurait fait le Directeur. Ce qui n’était pas totalement faux, car ce que personne ne sait c’est qu’un espion se cache parmi les professeurs même de Poudlard.

Et si seulement il n’y avait que ce « problème » là, mais il faudrait être aveugle ou simple d’esprit pour croire que seul Voldemort et ses partisans sont une menace pour les mondes magique et moldu. Mais il ne suffit pas d’adhérer aux méthodes extrêmes pour être un anti-impur et haïr né-moldu, voir même les sangs mêlés, et pourtant il existe bel et bien des sorciers de cette trempe qui méprisent autant le Directeur que le Mage Noir. Quelque part ce ne sont que des élèves intolérants menés par un jeune aristocrate bien déterminé à prouver que les secrets de la Magie ne devraient être détenus que par les sang-pur mais ils seraient idiots de penser que cela en fait des êtres inoffensifs qui seront rapidement maitrisés. Loin de là, car leurs actions seront plus précoces et plus violentes que prévues.

Et entre ses deux feux ils ne restent que les partisans de Dumbledore et les ouverts d’esprits qui auront intérêt à vite comprendre ce qu’il se passe s’ils veulent éviter une effusion de violence, ou voir pire un bain de sang. Chacun croit en ses convictions, personne n’abdiquera. A la guerre comme à la guerre Abberline, Von Croy et McGonagall seront prêt à tout pour gagner la bataille. Les dès sont jetés : que choisirez-vous ?

Et puis, outre ça, il y a ces murmures, ces rumeurs. On dit qu’elle est morte. On dit qu’elle se baladait dans les couloirs à la recherche de son crapaud et qu’elle a été tuée. Les gens ne savent ni comment ni pourquoi. Certains parlent de la Chambre des Secrets mais aucun message n’a été laisser, pas comme cette fois-là, il y a une petite dizaine d’année. D’autres parlent d’un acte perpétré par Celui dont on ne prononce plus le nom. La jeune femme était une sang-mêlé. Une traitre à son sang qui plus est. Mais elle appartenait à la maison de Salazar Serpentard alors pour d’autre, le Seigneur des Ténèbres n’aurait pas pu toucher à un élève envoyé par le choipeau dans sa noble maison. Bien qu’on ne connaisse pas tellement le profil psychologique de cette personne, cela semblait impossible à ceux qui le soutenaient dans l’ombre. Personne ne comprenait d’où cela venait. Qui pouvait être touché ? Qui ne le serait pas ? Tout le monde semblait visé et personne ne savait d’où cela venait. Et ça, ça n’était que des rumeurs jusqu’à ce que Minerva McGonagall ne fasse un discours quelques heures avant le dîner.

« Mes chers enfants. C’est un nouveau drame que subit aujourd’hui notre école. Une… élève a été tuée hier dans le couloir du troisième étage de l’aile nord. Nous ne connaissons pas encore les circonstances dans lesquels le drame s’est déroulé mais dès lors, cette partie du château est interdite aux élèves. Nous vous conseillons d’être très prudent. Personne ne sait encore comment cette personne a pu pénétrer dans le château mais des aurors ont investi les locaux pour mettre cette affaire au clair. Votre camarade était une jeune femme pleine de ressources, elle aurait pu être une très bonne politicienne si ce drame n’était pas survenu. Eleanor Clearance demeurait dans la maison de Serpentard et son fantôme hantera peut être ces lieux un peu plus tard… Je vous demande une petite minute de silence à sa mémoire… »

Les chuchotements s’estompèrent et durant une minute, plus aucun son ne se fit entendre dans la grande salle. Tout était tristement calme.

Les rumeurs courent toujours dans les couloirs du château, personne ne sait encore à quoi s’attendre. Un vent de panique et de psychose s’est levé et les élèves ne restent plus seuls, même en pleine journée. Qui est donc ce meurtrier et comment a-t-il procédé pour tuer cette jeune femme ? Ces questions restent encore sans réponses, au grand malheur de Madame la Directrice.