✖ Nom complet :Eriko Maddie Tanaka ✖ Surnom(s) : Eri, Mad', Ko-ko chan, Mama ✖ Âge : 16 ans ✖ Emplois/Etudes/Occupations : Lycéenne ✖ Orientation : Bi' ✖ Nationalité/Origines : Japonaise et irlandaise ✖ Aime/N'aime pas : J'aime mon portable, les faux ongles, les loose socks, râler et l'odeur du café {J'aime aussi et surtout les boissons caféinées.} J'aime également les douches glaciales, avoir froid, l'état dans lequel on est quand on a pas dormi deux trois nuits d'affilées, les voitures jaunes, les vieilles choses {Comme les téléphones qui sont encore crochés au mur avec une sorte de combiné en forme de tube}, les uniformes, le vert pomme, l'odeur du béton après et avant la pluie, le bruit du vent et les orages. Je n'aime pas les bruits inutiles {Comme le clic du stylo par exemple}, les gens qui sifflent, les gens qui écrivent tout en abrégé, le mot...LOL et les avatars jaunes. Le rose, les mecs mous, le trop romantique, les compliments {ça me met mal à l'aise}, les faux-culs, l'odeur du fromage et du poisson, les poils sous les bras, les sales pieds...
| ✖ Description du physique : "J'ai jamais été une fille laide. Jolie, je n'irais pas jusque là non plus. On va dire...étrange. Pas comme "Cette fille parle toute seule et veux se taper un poney" mais étrange par mon physique. A commencer par le métissage étrange dont je suis issue. Japo-irlandaise. Et attention, mon métissage n'est pas ce qu'il y a de plus normal. J'ai les cheveux qui ont pris une teinte entre le roux et le brun, ce qui nous donne quelque chose comme...brun miel ? Je suis même pas sûre que cela se dise. Ils ne sont pas raides comme ceux de mon père, comme la plupart des nippons, mais lisses sur le devant et frisottant quand on se rapproche des pointes. C'est d'ailleurs pour cela que je me fais souvent des tresses ou des couettes, histoire d'essayer de camoufler au mieux le massacre. J'ai un front large, que je cache sous une frange droite. Mes sourcils eux sont super foncés, presque noir, taillés très finement qui plus est, ce qui pourrait faire croire que je suis une de ces yankee qui parcours les rues nippone. Mes yeux sont immenses. Je ressemblerais à une poupée si j'avais la belle peau laiteuse de mes compatriotes, mais non...j'ai une peau entre le métisse et le blanc, ce qui nous donne un jaune qui, je l'avoue par contre, sied parfaitement avec mes yeux brun-vert ou vert-brun...je ne sais même pas exactement comment définir cette couleur. Mais ce n'est pas tout ! Si j'ai un petit nez adorablement mutin, cadeau de mes ancêtres d'Irlande, j'ai une bouche que l'on pourrait dire: Oh des oeufs de morue !!! Ce n'est pas à cause d'une quelconque odeur hein, mais bien parce qu'elle est juste...énorme. J'ai une grande gueule dans tous les sens du terme et une paire de lèvres qui me fait me demander parfois si j'ai pas des ancêtres en Afrique. Mon menton volontaire est presque disgracieux, mais fort heureusement, il reste en harmonie avec la forme triangulaire de mon visage. On doit penser que je complexe, mais non. En fait, je ne fais que relater les faits. Et ce n'est pas fini. Loin de là. Ma mère m'a offert sa grande taille, chose dont j'aurais aimé me passé. Je mesure un mètre septante-sept. Pour mes 16 ans et le fait que je vive parmi une population qui à une taille moyenne chez une fille de 1m50, par là, si je ne me trompe pas, je passe pour un trans'. D'autant que mes jambes sont très longues et très fines, tout comme ma silhouette longiligne. Je n'ai pas de hanches. On le croit souvent, mais c'est parce que j'ai les os saillant au niveau du bassin. Mes fesses rebondies finissent d'achever l'ovni que je suis, avec une paire de seins qui n'est pas grosse, mais tellement ronde que je pourrait me promener sans soutiens-gorge que l'on ne remarquerait rien du tout. Et pour terminer ce portrait qui doit vous faire rêver, j'ai des oreilles que je juge trop grandes et des mains de géantes avec de longs doigts squelettiques. Au final, je crois que seul mes ongles, je les aime...et encore...ils sont faux." ✖ Description du caractère : "Vache ! C'est compliqué de se décrire...je vais essayer. Et au mieux, sans mensonge...sans tabou. Après tout, je l'ai fait pour mon physique, alors c'est pareil nan ? Si ? Moins ? Plus intime ? Fin bref. Je suis une fille que l'on peut appeler...chiante. Pas chiante parce qu'elle vous tapote le bras des heures jusqu'à ce que vous l'écoutiez, pas chiante parce que c'est un moulin à parole et pas chiante parce qu'elle a tendance à parler fort et vite avec de grands gestes brusques {Bon pour les gestes...} par contre, chiante, parce qu'elle à un caractère complexe. Assez complexe pour vous demander si c'est toujours la même personne que vous avez en face. Parce que figurez-vous que mon métissage ne s'est pas seulement insinué dans les cellules de mon corps, mais également dans celles de mon cerveau. J'ai donc le caractère merdique et fort des irlandais. Je n'aime pas quand on me dérange le matin, genre ta mère qui te poses milles questions à peine tu viens de sortir un pied hésitant de ton lit. Je hurle quand on me dis que "Ecossais et Irlandais c'est tout pareil" Je ne supporte pas que l'on me traite comme une faible femme, chose que pourtant...pourtant je suis. Du moins, lorsque je suis abrutie par ce que l'on appelle la maladie d'amour. J'ai le don de tomber sur des enfoirés, de beaux enfoirés, mais enfoirés quand même, qui me trompent, me rabaissent et parfois même...me frappent, mais je me contente d'encaisser en souriant comme une conne. Ce doit être parce que mes grand-parents paternel n'arrêtaient pas de faire remarquer qu'une bonne femme à marier était ce qu'on appelle "Une femme bien sous tout rapport, qui aime son mari et le lui montre en toutes circonstances. La cuisine, le ménage et blah et blah et blah" De un, je pense que c'était pour ne pas dire "Une pute soumise" et de deux...je ne me demande pas pourquoi ils ne supportent pas ma mère et ne viennent plus nous voir. Parce que ma mère veut que je m'émancipe, que je ne me laisse pas marcher sur les pieds, ce que je sais faire, jusqu'à ce que, du moins, mon coeur fasse boum. Alors je deviens une lavette. Je suis, je me fais manipuler, un vrai pantin. Il dit: Lèche moi les pieds et je lèche. C'est misérable, je m'en rends compte, d'autant que mes amies me font toujours remarqué " Mais putain Koko...t'es une miss avec un caractère de merde. Pourquoi tu tombe que sur des connards !" Je suis toujours tentée de leur dire "Merde" mais je me rend compte qu'elles ont raisons. L'amour, on ne l'explique pas. Autrement, mis à part ça, le métissage sournois ne s'arrête pas là. Je suis une personne très fière, qui ne supporte pas de se payer l'air con, bien que le fait que je sois atrocement maladroite, style la miss du manga, je me paie toujours la honte. Alors il y a deux choix qui se pose alors à mon cerveau partager entre honneur et humilité nippone et violence irlandaise. Je me relève, rouge tomate, bafouille quelque chose d'incompréhensible, mélange de mots nippons et anglais, avant de me liquéfier sur place ou partir en courant les larmes aux yeux, ou alors, je me relève et tabasse tous ceux qui osent rire. Ce serait pousser le vice si je continuais de parler de moi non ? Je n'aime pas trop. Je ne suis pas une personne renfermée, loin de là, bien qu'en présence d'un mâle qui me plaise je sois très...trop rose et bafouillante, car en général, je suis plutôt du genre extravertie, à me faire facilement des amies. J'aime aussi le sexe hein faut pas croire. Si mon père pense que je suis vierge et pure, moi et ma mère, savons qu'il n'en est rien. En couple, je suis fidèle à outrance. Même regarder un autre garçon me donne envie de me lyncher...mais célibataire, je redeviens une...mmm chaude lapine ? Nympho ? Je sais pas comment expliquer les choses. Que ce soit fille ou garçon, si physiquement et uniquement physiquement il/elle me plaît, alors je ferai en sorte de l'avoir dans mon lit. C'est comme ça...je crois que je n'ai rien de plus à dire. Si ce n'est que j'ai un humour de merde et que je suis une personne rancunière et parfois peut-être légèrement trop...brusque." ✖ L'histoire de votre personnage :L'Irlande et le Japon sont deux pays totalement, radicalement, différents. Car si d'une part on suit les traditions à la lettre, la culture est importante, l'honneur, la fierté est savamment couplée avec de la douceur, la paix, la sérénité, les tabous qui font que les personnes sont plus discrètes, plus introverties, de l'autre part, on trouve aussi la fierté, la culture et tout ça. Par contre, ils ne sont pas parvenus à se faire entendre autrement avec qu'avec virulence. Des gestes, des propos. Des voix fortes, une fierté telle que toute atteinte à l'intégrité d'une personne risquerait de se solder par des coups de poings, de pieds, avant une réconciliation dans la plus pure tradition faite d'alcool et de musique. Imaginez donc ce que donne un enfant qui est issu des testicules discrètes, humble et douce d'un nippon et de l'utérus violent, grande gueule et fière à outrance d'un irlandaise. Un monstre. Il n'y a pas d'autre terme. Pourtant, un bébé, ça ne peux, ne dois pas être moche. Ce n'est juste pas possible. Alors on ne va pas déroger à la règle. Avec ses grosses lèvres et ses grands yeux, sa petite crête de cheveux entre le brun et le roux, elle était magnifique. Seul moment en fait où je peux faire mon égocentrique. Car oui, ce petit monstre d'adorabilité rose, pleurnicharde et puant le caca, c'était bien moi. Je n'ai pas grand chose à dire sur mon enfance, car elle fut parfaite. Pas de mère alcoolique, pas de père violent. Bien que lorsque je me vois aujourd'hui, j'ose me demander si ma mère ne m'aurait pas bercée trop près du mur, rien d'anormal donc. Maman était une jeune étudiante en séjour au Japon lorsqu'elle à rencontré papa qui était alors un lycéen adorable avec ses petites lunettes et sa frimousse bridée {C'est maman qui le dit} et elle était le rêve du japonais. Une jeune femme grande, mince, à la chevelure de feu. C'est probablement parce que papa est un gentil garçon de la campagne nippone qu'il a tant plus à maman. S'il avait eu un sale caractère, ils se seraient probablement fait la guerre, au lieu de faire l'amour. Maman n'a donc pas attendu longtemps avant de se laisser emporter par les feux passionnés de l'amour et je suis née ici, au Japon. Je suis passée du stade de têtard baveux à grenouille au sourire flippant. Vous savez, l'âge où vos sourires ne ressemblent à rien car il vous manque des dents ? Et pourquoi, je ne sais pas, c'est toujours les deux de devant qui se barrent en premier. Mon père à commencé à se faire des cheveux blancs quand je n'étais encore qu'un ptit boudin, plus grande que tous mes camarades mais toute ronde, car je passais mon temps à tomber, glisser, me pincer dans une porte, me coincer les doigts, la tête même, entre des barreaux, m'encoubler, me râper, me mordre, me faire mordre, me faire piquer, me faire mal en gros. Et de manière absolument ridicule. Cela n'a d'ailleurs pas changé en somme. Je me suis même coupée avec du carton une fois. Ne me demander pas comment surtout. Enfin donc enfance rose, rougie par le sang et les bobos. Ma scolarité fut également assez banale. Je n'étais pas un petit génie d'astro-physique nucléaire, mais je n'étais pas non plus un être sans cervelle incapable d'additionner deux et deux. Je faisais partit du peloton de tête, mais pas trop en avant pour faire partie des intellos que l'on martyrise et pas trop à la traîne pour que les professeurs s'inquiètent. J'avais donc tout juste la moyenne avec quelques bonnes notes. Une bonne élève qui n'avait qu'un souci en classe..."Votre fille est adorable et une très bonne élève...par contre, parfois l'on se demande si elle ne fait pas exprès...vous savez, les bobos, l'infirmerie et tout ça. A croire qu'elle est amoureuse de notre infirmier !" Heu ouais...c'était un peu le cas, j'avoue. Je n'avais que douze ans, mais il était beau...si beau qu'il à fauté avec moi. C'est tôt douze ans ? Je suis précoce. Mais il n'avait que 17 ans. C'était un garçon qui n'était pas réellement l'infirmier, mais étudiant stagiaire dans le cadre du médical. Ce n'est arrivé qu'une fois et c'est de là que j'ai compris que j'aimais les garçons et le filles. Que je vous explique. Les filles, c'était parce qu'il avait un côté extrêmement androgyne. C'est probablement en partie pourquoi j'avais aimé ce garçon. Enfin...aimé pour quelques minutes. Enfin donc. Première expérience peut-être un peu tôt, j'avoue. Mais est-ce si grave ? Et à l'heure actuelle, plus personne ne s'en formalisera. C'est presque normal d'avoir perdu sa virginité avant 16 ans. Mais chut...papa et maman ne le savent pas. Après cette expérience, j'en ai eu d'autres. Pleins d'autres. Une foule d'autres. Je crois que j'aimais trop les garçons. Par garçons, je devrais préciser, les connards !
Avouons que ma mère et mon père ne se doutaient de rien, ne pouvaient pas, donc, me conseiller sur mes petits soucis ou même sur quoi que ce soit d'autres. Si je ne leur en parlais pas, c'est parce que papa est carrément flippant quand il se met en colère. En effet, avez-vous déjà vu un japonais, calme, zen et tout ce qui va avec, se mettre dans une colère noire ? C'est un tout petit homme qui devient rouge et gesticule. Quand à ma mère...elle me fait trop peur. On n'énerve pas une irlandaise ! Je vous assure. Enfin donc. Outre mes histoires de...fesses, il y avait quelques histoires d'amour. C'est vrai. Mais de l'amour soit à sens unique, où l'on se rend compte au final qu'on est surtout un trou, des histoire d'amour vache, où mon coeur me faisait faire des choses absolument étrange...par amour que je disais. Et la plupart du temps, c'était des histoires d'amour partagées, mais pas avec les bonnes personnes. Car les mecs que je me trouvais avaient tendance à trop aimer leur voisines, leur camarades, certains même...leur soeurs et leur cousines. Je sais...je sais...ho et même mes meilleures amies. On comprendra pourquoi j'ai beaucoup changé d'amie depuis ma naissance...
Il n'y en a qu'une qui est ma meilleure amie, même si entre nous, je devrais peut-être dire "Peutêtreexmeilleureamie!" Car cette garce...non mais je...UeU hhh je vous laiss voir avec moi, le flash back de cette étrange histoire...enfin étrange, plutôt chiante ouais !
"Eriko, Maddie, Mad girl, truc, était ce genre de fille qui ne supportait pas, ne pouvait pas, vivre sans son portable. Mais elle était également ce genre de fille, de personne même, qui avait en horreur tous ces sites de rencontres et autres conneries du type. Vous savez, les fameuses publicités qui vous bousille votre sérénité en plein milieu d'un bon film ? Oui...ce genre là. Elle les avait en horreur, aussi, lorsqu'elle se connecta par un jour de pluie, soupirant doucement, elle fut surprise en voyant que dans son historique, il y avait quelque chose qui ressemblait drôlement à l'objet de sa haine -Love-communication.com- sa réaction première fut "What the..." , puis la curiosité suivit, elle cliqua sur le lien. Vint ensuite une autre réaction somme toute assez logique "MAMAAAAAAAN T'AS TOUCHEEEE MON ORDIIIII" "Non ma chérie...pas que je sache" Réponse étrange...enfin. Donc il fallait passé à la troisième réaction, mener l'enquête. Aussi, elle cliqua sur la bannière du site et le parcourut rapidement, avant de se rendre compte que quelque chose clignotait. Elle était conectée "Mad-Monkey"...trente seconde après, les yeux toujours en train de lire cette simple phrase, ce petit pseudo qui ne signifiait peut-être rien, mais était tout pour elle " MAD-MONKEY ? Mais c'est moi..." En parcourant un peu plus le site, elle compris bien vite, très vite, trop vite "MAMAAAAAAN QUELQU'UN EST PASSE A LA MAISONNNN CE WEEK ?" "Oui...ton amie...comment elle s'appelle déjà ?" " Iwako !!!CONNASSE" "PARDON !" "HEU...NON...PAS TOI...M'MAN..." "J'espère bien..." La métisse vit rouge, bleu, vert, avant de prendre son portable et appeler sa meilleure amie. Elle lui dit de venir chez elle le plus vite possible, car elle avait des choses à lui dire, à propos de l'école. C'est ce qu'elle disait du moins. "ERIKOOOO TON AMIE EST LAAAA" "Tu voulais me voir Eri...pourquoi tu me regarde comme ça...pose ce...pose ce truc tout de suite !...Ne...arrêeeeeete" La métisse ne décolérait pas. "POURQUOI !!!!" " Eriko, chaton, arrête de hurler, tu vas effrayer les voisins...et t'auras plus de voix demain. Tu te souviens de ce qui s'est passé la...""Oui, pardon m'man" Plus doucement " Pourquoi...t'as fait ça ? Et prend ton air de -Jenevoispasdequoituparles- ça ne prend pas." "Eri'...koko...je...je te voyais si désespérée" " Merci, sympa ! Je suis pas désespérée""si tu sais, t'as ta tête de...celle que tu fais maintenant." "C'est ma tête de tous les jours ça...jte déteste" "Non mais tu vois.." Après plusieurs heures de communication intense, la jeune femme finit par comprendre. Sa meilleure amie la voyait tant galérer avec les garçons. Elle passait d'enfoiré à enfoiré. Elle passait de connard infidèle à connard infidèle. Et Si cela ne la touchait pas directement, autant elle s'inquiétait pour son amie, autant elle en avait marre de passer des journées avec des abrutis qui parfois se permettaient même de la draguer. Aussi, Eriko, malgré son apparente colère, ne lui en voulait pas tant. Elles terminèrent d'ailleurs la soirée en riant et en tchatant un peu sur la cb. C'était agréable au final...Enfin...assez drôle, si ce n'est que Iwako avait fait une description très étrange de sa personne...sans parler de l'avatar...."
Au final, je trouve que st'avatar me ressemble beaucoup..."
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